• Libertat per Jann-Marc Rouillan, libertat per tots los presonièrs d’Action Directe !

     

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    Libertat per Jann-Marc Rouillan, libertat per tots los presonièrs d'Action Directe !

    Encara que Jann-Marc Rouillan aja pas cap interdiccion d'encontrar los jornalistas, sa situacion de semilibertat s'acaba a causa d'una entrevista balhada al jornal L'Express. Entrevista dins laquela Jann-Marc Rouillan parla pas de las accions passadas d'Action Directe mas comenta solament son interdiccion d'en parlar. Jann-Marc es tornat en prison aprèp 18 annadas incompressiblas, dont 7 en isolament, mai 3 annadas suplementàrias aprèp tot aquò !

    De qué vòl aquela societat ? Es pas complicat, per tots lo presonièrs d'Action Directe coma pel militant comunista revolucionari libanés Georges Ibrahim Abdallah, es la penedença que lo poder francés exigís d'aquels òmes e femnas, ostatges d'aquel estat.

    Aicí Anaram Au Patac es luènh de partejar totas las posicions del Nouveau Parti Anticapitaliste (coma l'a fach Jann-Marc Rouillan, benlèu) o de la LCR, Anaram Au Patac contunha e contunharà de sostèner Jann-Marc Rouillan e los autres presonièrs d'Action Directe tot coma lo revolucionari Georges Ibrahim Abdallah.

    Anaram Au Patac crida a condemnar aquela justícia de classa, a se mobilisar e a mobilisar pertot per la libertat dels presonièrs d'Action Directe e de Georges Ibrahim Abdallah. La Solidaritat es nòstra arma !

     

    Liberté pour Jann-Marc Rouillan, liberté pour tous les prisonniers d'Action Directe !

    Malgré que Jann-Marc Rouillan n'ai pas l'interdiction de rencontrer les journalistes, sa situation de semiliberté se termine à cause d'une interview accordée au journal L'Express. Interview dans laquelle Jann-Marc Rouillan ne parle pas des actions passées d'Action Directe mais commente seulement son interdiction d'en parler. Jann-Marc retourne en prison après 18 ans incompressibles, dont 7 à l'isolement, plus 3 ans supplémentaires après tout çà !

    Que cherche cette société ? Ce n'est pas compliqué, pour tous les prisonniers d'Action Directe comme pour le militant communiste révolutionnaire libanais Georges Ibrahim Abdallah, c'est la repentance que le pouvoir français exige de ces hommes et de ces femmes, otages de cet état.

    Même si Anaram Au Patac est loin de partager toutes les positions du Nouveau Parti Anticapitaliste (comme l'a fait Jann-Marc Rouillan, peut-être) ou de la LCR, Anaram Au Patac continue et continuera de soutenir Jann-Marc Rouillan et tous les autres prisonniers d'Action Directe tout comme le révolutionnaire Georges Ibrahim Abdallah.

    Anaram Au Patac appelle à condamner cette justice de classe, à se mobiliser et à mobiliser partout pour la liberté des prisonniers d'Action Directe et de Georges Ibrahim Abdallah. La Solidarité est notre arme !

     

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    1
    Alien At Work
    Dimanche 19 Octobre 2008 à 11:39
    Libérez Les !!!
    Ecrire aux militants d’Action directe incarcérés ! Georges Cipriani n°écrou 5250 M.C. Ensisheim 40, rue de la 1re Armée 68190 Ensisheim Jean-Marc Rouillan 147575 CP Marseille Centre de semi-détention 230 chemin de Morgiou, 13404 Marseille cedex 20 Régis Schleicher n° écrou 10286 C.P. Clairvaux Ville-sous-La Ferté 10310 Bayel
    2
    alienatwork
    Lundi 17 Novembre 2008 à 21:14
    rassemblement contre l’incarcération de Jean-Marc Rouillan est prévu à Clermont-Ferrand Jeudi 20 novembre 2008 à 18 heures devant le Palais de Justice
    Un rassemblement contre l’incarcération de Jean-Marc Rouillan est prévu à Clermont-Ferrand Jeudi 20 novembre 2008 à 18 heures devant le Palais de Justice Place de l’Etoile Une conférence de presse aura lieu le même jour à 17h30 au même endroit. J.M ROUILLAN RÉINCARCÉRÉ, CHACUN DE NOUS EST CONCERNÉ ! Le 16 octobre, le tribunal d’application des peines siégeant à la prison des Baumettes à Marseille a décidé, après seulement cinq minutes de délibération, la révocation du régime d’aménagement de peine appliqué à Jean-Marc Rouillan depuis décembre 2007 après 21 ans de prison. L’appel sera jugé dans les quarante jours. Alors que le Service pénitentiaire d’insertion et de probation était favorable au maintien du régime de semi-liberté de Jean-Marc Rouillan, la décision prise par les juges satisfait entièrement aux demandes du parquet qui aujourd’hui se félicite bruyamment d’avoir mis fin au « scandale » que constituait pour lui ces dix mois de semi-liberté, même assortie de conditions très restrictives Le pouvoir politique, opposé depuis des années à toute mesure d’aménagement de peine pour Jean-Marc Rouillan, vise ainsi à empêcher sa libération conditionnelle qui était prévue en fin d’année. Il a donc orchestré cet emballement médiatique au cours duquel les propos tenus ont été déformés, voire falsifiés. En réalité, s’il était interdit à Jean-Marc Rouillan d’évoquer les faits pour lesquels il avait été condamné, il ne lui était aucunement interdit de rencontrer des journalistes, de donner des interviews ni de s’exprimer sur la situation politique d’aujourd’hui et sur son nouvel engagement militant. D’autre part, Jean-Marc Rouillan n’a pas parlé des faits, il n’a fait que commenter l’interdiction d’en parler. Enfin, rappelons qu’il n’y a aucun fondement juridique à lui imposer aujourd’hui un chantage aux regrets, alors que ceux-ci n’ont pu être exigés de lui pour le placer en semi-liberté. De fait, la notion de repentance n’existe pas en droit français. Mais il fallait interdire à Jean-Marc Rouillan toute expression politique. Il ne fallait pas qu’il parle et que sa parole puisse être écoutée de tous ceux qui subissent aujourd’hui une crise aux conséquences dramatiques. Jean-Marc Rouillan a parlé, il doit donc retourner en prison. Ceux qui ont hurlé avec les loups, mais aussi ceux qui n’ont pas eu l’honnêteté intellectuelle de dénoncer hier l’amalgame mensonger répandu par certains médias, ceux qui sont restés frileusement dans leur niche et n’ont pas voulu « se mouiller » pour défendre Jean-Marc Rouillan peuvent maintenant se demander quelle part de responsabilité ils ont dans sa réincarcération. Des juges ont décidé de mettre un militant politique en prison non pour des actes accomplis, mais pour une seule phrase prononcée, c’est-à-dire pour ses opinions. Ces juges n’ont même pas pris la peine de motiver leur jugement. Ailleurs, d’autres militants doivent payer de fortes amendes sous le prétexte d’« outrage », utilisé pour faire taire toute opposition. Des travailleurs sont condamnés par la justice pour avoir défendu leurs droits. Des sans-papiers, enfants et adultes, sont raflés et expulsés avec la plus grande des violences. Des jeunes sont poursuivis pour avoir seulement sifflé la Marseillaise. Et tous, nous sommes de plus en plus surveillés, fichés, contrôlés par Edvige ou son avatar Edvirsp. Aujourd’hui, laisser se développer sans réagir de telles atteintes aux libertés serait lourd de conséquences pour l’expression démocratique de tous. Face à l’arbitraire, nous appelons à l’unité pour défendre nos droits. C’est ensemble que nous pourrons sortir Jean-Marc Rouillan de prison ! Sans oublier Georges Cipriani ni Régis Schleicher ! (extrait du communique de Nlpf) Collectif de soutien Clermont Ferrand 0628033941 COMMUNIQUE DE PRESSE. Un Rassemblement contre l’incarcération de Jean-Marc Rouillan aura lieu le jeudi 20 novembre 2008 devant le Palais de Justice, place de l’Etoile à Clermont-Ferrand Le 27 novembre aura lieu à Paris l’audience pour l’appel déposé par Jean-Marc Rouillan suite à la révocation de sa semi-liberté. L’enjeu est tout simplement la liberté d’un homme. Et surtout pour nous tous, pour chacun de nous, pouvons-nous accepter de voir réincarcérer un militant pour des raisons politiques et uniquement politiques ? Jean-Marc Rouillan a exprimé dans une interview des analyses politiques générales que d’innombrables militants et penseurs politiques ont exprimé. Il a respecté l’obligation de silence sur les faits et simplement souligné qu’une seule expression pourrait être recevable. Rien n’indique dans la phrase incriminée et qui fait motif à la révocation, ce qu’il pense et donc il n’y a rien de ce que le pouvoir, les médias, le parquet et le juge affirment y voir. La révocation n’a donc pas de fondement . Et les conséquences d’une décision de révocation sont démesurées. Que signifierait la révocation de la semi-liberté ? Pour un homme qui a déjà effectué plus de vingt années de prison. Une nouvelle et longue incarcération. C’est une chose que tout simplement, nous ne pouvons, ni ne devons accepter. Il fut un temps, où il était facile d’entendre des voix s’élever sur des principes, sur des valeurs. Ou ceux qui avaient participé à la résistance, à la mobilisation contre la guerre d’Algérie, au soutien aux peuples en lutte, aux grands combats d’après 68, aux luttes ouvrières savaient se rejoindre pour défendre ce que l’on appelait des causes et se battaient au-delà de toute interprétation pour ce qu’ils estimaient juste. Aujourd’hui, pour ce 27 novembre, c’est ce qui est important et nécessaire de faire : ne pas accepter et se mobiliser clairement et fortement. Jean-Marc Rouillan ne doit pas être réemprisonné. Cela est tout simplement inacceptable Au regard des faits qui ne sont pas constitués. Et des conséquences qui sont intolérables ! Collectif de soutien de Clermont Ferrand (C.N.T, F.A, Anaram Au Patac, Sud Etudiant...) 0628033941 Pétition pour jean marc JEAN-MARC ROUILLAN VEUT TOURNER LA PAGE SANS LA DÉCHIRER pétition sur http://www.cequilfautdetruire.org/spip.php ?article1811
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