• Lo numerò 9 de la Revista qu'ei sortit. Lo voletz recéber e vos abonar ? Enviatz un chèc a l'òrdi de "Los amics de Libertat" a : 2 carrèra de la Hont, 64000 Pau. Abonament d'1 an (6 numeròs) per 25€ o mei tà sostiéner !
    Le numéro 9 de la Revista est sorti. Vous voulez le recevoir et vous abonner ? Envoyez un chèque à l'ordre de: "Les amis de Libertat" à : 2 rue de la fontaine, 64000 Pau. Abonnement d'1 an (6 numéros) pour 25€ ou plus pour soutenir !


    votre commentaire
  • Que pensavam que lo Bearn estosse a l’endòst de las derivas fascisantas e xenofòbas. Mes despuish quauques mes que constatam dens la region paulina ua campanha d’afficatge intensiu signada peu “Blòc Identitari”. Aqueste movement qu’ei la navèra cara de l’estrèma dreta la mei pudenta e perilhosa.

    Dab la crisi generau deu capitalisme e lo son seguici de misèria economica e sociau, l’estrèma dreta radicau que tròba un terralhèr graniu entà desvolopar la lors tèsis. De mei, qu’an miat un tribalh de reflexion au nivèu politic e ideologic dab com èish màger ua comunicacion actiu. Dab aquesta navèra estrategia de l’imatgee de la respectabilitat, aqueste movement qu’espèra enganar lo monde e passar per ua organisacion politica lambda. Acabada la grandor de la Patria, las colonias e l’antisemitisme redondant. Plaça a las identitats locaus, a la pseudo luta contra lo mondialisme e a la defensa d’ua ipotetica civilizacion europeana crestiana e blanca. Mes aqueths lèds creats ne borraràn arrens. Lo Bearn qu’a sabut tostemps acuélher las personas desirosas d’i víver. Despuish generacions de Francés, Italians, Portugués, Espanhòus, Magrebins que son vaduts ua part integranta deu pòple Bearnés. L’estrèma dreta qu’ensaja tanben de’s ganhar las nostas culturas istoricas. Que sia dit e entenut, l’Occitan e la cultura Bearnesa ne seràn pas jamei un utís d’exclusion mes tostemps la melhora faiçon de díser “planvengut”.

    Uei lo dia, qu’ei deu noste deber de’ns opausar au desvolopar d’aquesta fòrça en Bearn e partot en Occitània e aulhors. Subertot que despuis quauques temps la Tor deu Borrèu (lo locau politic de Libertat! En Bearn) qu’ei victima d’attacas mesquinas. Crotz gamadas sus la pòrta, desarrigada sistematic deus nostes pegasolets e afficatges. Mei recentament qu’eston dessarigats e esperrecats drapèus antifascistes e bearnés.

    La luta contra l’estrèma dreta que passerà per la conquista de las classas popularas peu movement revolucionària, entad aquò que debem soscar amassa lo contengut e la fòrma d’aqueste movement. Entà Libertat! L’antifascisme ne’s pòt pas tirar de la luta contra lo capitalisme e tau cambiament de societat. Aquesta ofensiva fascista  qu’ei tanben lo parat tà nosautes de hicar en plaça navèths utís independents en mesclar luta politica e vita. Qu’ei çò qu’aperam l’autonomia populara, utís ont poderàn cristalisà’s las resisténcias.

    Bearn, Occitània antifascista!

    Tòca-i se gausas!

     

    Offensive fasciste en Béarn.

     

    Nous pensions que le Béarn était à l’abri des dérives fascisantes et xénophobes. Or depuis quelques mois nous constatons dans la région paloise une campagne d’affichage intensif de la part du « Bloc Identitaire ». Ce mouvement est le nouveau visage de l’extrême droite la plus puante et dangereuse.

    Avec la crise générale du capitalisme et son cortège de misère économique et sociale, l’extrême droite radicale trouve un terreau fertile pour développer leurs thèses. De plus, ils ont mené un travail de réflexion au niveau politique et idéologique avec comme axe majeur une communication active. Avec cette nouvelle stratégie basée sur l’image et la respectabilité, ce mouvement espère tromper son monde et passer pour une organisation politique lambda. Finie la grandeur de la Patrie, les colonies et l’antisémitisme redondant. Place aux identités locales, à la pseudo lutte contre le mondialisme et à la défense d’une hypothétique civilisation européenne chrétienne et blanche. Mais ces tristes sires ne tromperont personne. Le Béarn a toujours su accueillir les personnes désireuses de vivre ici, depuis des générations Français, Italiens, Portugais, Espagnols, Maghrébins sont devenus une partie intégrante du peuple Béarnais. Cette extrême droite tente aussi de s’accaparer nos cultures historiques, que cela soit dit, l’Occitan ou la culture béarnaise ne sera jamais un outil d’exclusion mais toujours le meilleurs moyen de dire « planvengut »*.

    Il est, aujourd’hui, de notre devoir de nous opposer au développement de cette force en Béarn et partout en Occitanie et ailleurs. Surtout que depuis quelques temps, la Tor deu Borrèu (le local politique de Libertat ! en Béarn) est victime d’attaques mesquines. Croix gammées sur la porte, arrachage systématique de nos autocollants et affiches. Plus récemment ce sont les drapeaux antifasciste et Béarnais qui ont été arrachés et déchirés.

    La lutte contre l’extrême droite passera par la reconquête des classes populaires par le mouvement révolutionnaire, pour cela nous devons ensemble réfléchir au contenu et à la forme de celui-ci. Pour Libertat! l’antifascisme ne peut être sorti de la lutte contre le capitalisme et pour le changement de société. Cette offensive fasciste est aussi l’occasion pour nous de mettre en place de nouveaux outils indépendants combinant lutte politique et vie. C’est ce que nous appelons l’autonomie populaire, outils où pourront se cristalliser les résistances.

     

    Biarn, Occitània antifascista !

    Tòca-i se gausas !

     

    *bienvenue »


    votre commentaire
  • Appel à manifestation avec Libertat ! Le 31 mars : Tots a Tolosa

    version fr

     

    Le 31 mars 2012 se tiendra la manifestation « Anem òc per la lenga occitana » à Toulouse. D'autres manifestations similaires se tiendront au même moment en Bretagne, au Pays-Basque, en Alsace, en Corse et en Catalogne.

     

    En 2009, à Carcassonne nous étions près de 25000 personnes à défiler pour réclamer un droit pour la langue occitane. Aujourd'hui, une nouvelle manifestation est proposée pour réclamer une énième fois ce droit à un état français toujours aussi ferme dans ses positions jacobines et centralisatrices.

    Si Libertat défend et promeut la langue et la culture occitane, nous nous interrogeons sur le manque évident de « fond » pour cette manifestation. Encore une manifestation, pour demander des faveurs à un état, qui n'est certainement pas près à reconnaître l'existence du peuple occitan. Encore une manifestation où nous allons défiler derrière une horde d'élus et de personnalités politiques, qui viennent là pour leur fond de commerce et amasser un peu plus des voix à la veille des élections. Nous ne sommes pas dupes de leur stratagème. Nous refusons de servir leurs intérêts. Cette manifestation c'est avant tout celle d'un peuple, du peuple occitan, des personnes qui vivent sur ce territoire et qui s'en ressentent.

    Cette manifestation, c'est aussi l'occasion de montrer que nous pouvons être une force dynamique, que nous ne sommes pas encore mort et que nous ne rentreront pas dans leur jeu électoraliste. Car soyons clair, aux lendemains des élections, rien ne changera pour les langues et les peuples de l'État français. Cessons de croire à ces chimères et ensemble bâtissons notre force. Nous devons tous avancer derrière le slogan « víver e decidír au país ». Nous ne voulons plus regarder vers Paris, vers toutes ces personnes qui détruisent nos territoires, nous voulons construire des alternatives à ce système et proposer des projets locaux, dans le respect des personnes qui y vivent.

     

    C'est dans ce sens que doit se bâtir cette manifestation. Avancer sur des propositions sociales et un projet politique cohérent.

     

    Pour cela :

     

    -Il faut que le peuple occitan soit reconnu

    -Nous ne voulons plus que nos pays soient détruits par des grands projets routiers, autoroutiers et ferroviaires, etc (autoroutes, LGV, grands projets touristiques, forages pour le gaz de schiste…)qui pillent l'argent public.

    -Nous voulons la reconnaissance de notre langue et sa promotion : développement des écoles bilingues, de l'enseignement en immersion, affichages bilingues systématique.

    -Nous voulons le droit pour nos jeunes de vivre, travailler au pays et dans la langue.

    -Nous voulons décider au pays

     

    L'émancipation du peuple occitan ne résulte pas d'une loi, elle provient de sa capacité à créer des projets alternatifs et construire un rapport de force pour en finir avec une société qui tous les jours assassine, exclue, discrimine. Pour Libertat, l'autonomie doit se construire dès aujourd'hui pour enfin prendre en main notre avenir et mettre en place les outils nécessaires pour répondre à nos besoins sociaux, politiques et culturels.

    Nous voulons bâtir une Occitanie populaire, en finir avec les discriminations. N'oublions pas que notre culture a su s'ouvrir aux autres pour ce construire, trop souvent cette construction a été oubliée et nous avons connu des heures sombres. Mais le peuple occitan doit réapprendre son histoire, retrouver les origines de sa culture, son histoire pour avancer et se reconstruire.

     

    Nous devons aussi réagir, face à l'appel que font aujourd'hui les fascistes pour participer à la manifestation et former un cortège. Nous refusons leur vision biaisée d'une Occitanie qui se voudrait renfermée sur elle-même. Ces personnes n'ont rien compris au sens de l'histoire occitane. Nous sommes une terre d'accueil et plusieurs de nos villes se sont créées grâce à la mixité des peuples. Cela fait notre force et notre richesse. Et nous devons apprendre chaque jour un peu plus de ce métissage. Nous devons les empêcher de manifester ce jour-là et leur montrer qu'ils ne peuvent pas venir en toute impunité propager leurs idées discriminatoires, xénophobes et sexistes.

     

    Libertat formera un cortège lors de cette manifestation pour faire valoir toutes ces idées et proposer un autre projet politique.

     

    Nous appelons toutes les forces présentes à venir nous rejoindre dans ce cortège.

     

     

    Crida de manifestar amb Libertat ! Lo 31 de març : Totes a Tolosa

     

    version òc


     

    Lo de 31 març de 2012 se tendrà la manifestacion « Anem òc per la lenga occitana » a Tolosa. D'autras manifestacions similaras se tendràn al meteis moment en Bretanha, en Euskadi, en Alsàcia, en Corsega e en Catalonha.


    En 2009, a Carcassona èrem prèp de 25000 personas de desfilar per reclamar un dreit per la lenga occitana. Uèi, una manifestacion novèla es prepausada per reclamar un còp de mai aquel dreit a un Estat francés totjorn tan fèrm dins sas posicions jacobinas e centralisatrises.

    Se Libertat defend e promòu la lenga e la cultura occitana, nos interrogam sus la manca evidenta de « fons » per aquela manifestacion. Encara una manifescation, per demandar favors a un Estat, qu’es pas prèst de segur de reconéisser l'existéncia del pòble occitan. Encara una manifestacion ont anam desfilar darrièr una chormalha d'elegits e de personalitats politicas, que venon aquí per son fons de comèrci e amassar un pauc mai de voses a la velha de las eleccions. Nos daissam pas enganar per son estratagèma. Refusam de servir sos interèsses. Aquela manifestacion es d’en primièr la d'un pòble, del pòble occitan, de personas que vivon sus aquel territòri e que se’n sentisson.

    Aquela manifestacion, es tanben l'ocasion de mostrar que podèm èsser una fòrça dinamica, que sèm pas encara mòrts e que dintrarem pas dins son jòc electoralista. Perque siam clar, als lendemans de las eleccions, res cambiarà pas per las lengas e los pòbles de l'Estat francés. Acabem de creire a-n aquelas quimèras e amassa bastiscam nòstra fòrça. Devèm avançar totes darrièr l’eslogan « viure e decidir al païs ». Volèm pas mai gaitar cap a París, cap a totas aquelas personas que destruson nòstres territòris, volèm construire d’alternativas a-n aquel sistèma e prepausar de projèctes locals, dins lo respècte de las personas que i vivon.


    Es dins aquel sens que se deu bastir aquela manifestacion. Avançar sus de proposicions socialas e un projècte politic coërent.


    Per aquò :


    -Cal que lo pòble occitan siá reconegut.

    -Volèm pas mai que nòstre païs siá destruit per de projèctes rotièrs grands, autorotièrs e ferroviaris, etc (autorotas, LGV, projèctes toristics grands, foratges pel gas de sistre…) que pilhan l'argent public.

    -Volèm la reconeissença de nòstra lenga e sa promocion : desvolopament de las escòlas bilingüas, de l'ensenhament en immersion, afichatges bilingües sistematics.

    -Volèm lo dreit per nòstres joves de viure, trabalhar al païs e dins la lenga.

    -Volèm decidir al païs.


    La desmancipacion del pòble occitan resulta pas d'una lei, ven de sa capacitat de crear de projèctes alternatius e construire un rapòrt de fòrça per ne acabar amb una societat que cada jorn assassina, exclutz, discrimina. Per Libertat, l'autonomia se deu construire tre ara per enfin prene en man nòstre avenidor e metre en plaça las aisinas necessàrias per respondre a nòstres besonhs socials, politics e culturals.

    Volèm bastir una Occitània populara, ne acabar amb las discriminacions. Oblidam pas que nòstra cultura a sabut s'obrir als autres per se construire, tròp sovent aquela construccion es estada oblidada e avèm conegut d’oras escuras. Mas lo pòble occitan deu reaprene son istòria, retrobar las originas de sa cultura, son istòria per avançar e se reconstruire.


    Tanben devèm reagir, fàcia à l'apèl que fan uèi los fascistas per participar a la manifestacion e formar un cortègi. Refusam sa vision biaissada d'una Occitània que se voldriá embarrada sus ela. Aquelas personas an pas res comprés al sens de l'istòria occitana. Sèm una tèrra d'acuèlh e mai d’una de nòstras vilas se creèron gràcias a la mescladissa dels pòbles. Aquò fa nòstra fòrça e nòstra riquesa. E devèm aprene cada jorn un pauc mai d’aquel mestissatge. Los devèm empachar de manifestar aquel jorn d’aquí e lor mostrar que pòdon pas venir en impunitat tota espandir sas idèas discriminatòrias, xenofòbas e sexistas.


    Libertat formarà un cortègi al moment d’aquela manifestacion per far valer aquelas idèas e prepausar un projècte politic autre.


    Apelam las fòrças autras presentas de nos venir rejónher dins aquel cortègi.


    Totes amassa a Tolosa, per VIURE E DECIDIR Al PAIS !


    votre commentaire
  • Lo numerò 8 de la Revista qu'ei sortit. Lo voletz recéber e vos abonar ? Enviatz un chèc a l'òrdi de "Los amics de Libertat" a : 2 carrèra de la Hont, 64000 Pau. Abonament d'1 an (6 numeròs) per 25€ o mei tà sostiéner !
    Le numéro 8 de la Revista est sorti. Vous voulez le recevoir et vous abonner ? Envoyez un chèque à l'ordre de: "Les amis de Libertat" à : 2 rue de la fontaine, 64000 Pau. Abonnement d'1 an (6 numéros) pour 25€ ou plus pour soutenir !


    votre commentaire
  • L’avocat général du tribunal de Pau a donné son accord à l’exécution du mandat d’arrêt européen (MAE) à l’encontre d’Ernesto Prat Urzainki. Demandée par Madrid, la validation effective ou non ne sera pas connue avant mardi 14 février prochain, comme l’explique l’avocate du concerné, Me Maritxu Paulus-Basurco. Hier matin, à Pau, la chambre de l’instruction de la cour d’appel se livrait à un examen sur le fond du dossier. Le Navarrais Ernesto Prat, qui vivait à Urrugne, a été arrêté le 25 janvier dernier, pour soupçon d’appartenance à Ekin, structure autodissoute le 1er octobre 2011.

    L’avocat général du tribunal de Pau a donné son accord à l’exécution du mandat d’arrêt européen (MAE) à l’encontre d’Ernesto Prat Urzainki. Demandée par Madrid, la validation effective ou non ne sera pas connue avant mardi 14 février prochain, comme l’explique l’avocate du concerné, Me Maritxu Paulus-Basurco. Hier matin, à Pau, la chambre de l’instruction de la cour d’appel se livrait à un examen sur le fond du dossier. Le Navarrais Ernesto Prat, qui vivait à Urrugne, a été arrêté le 25 janvier dernier, pour soupçon d’appartenance à Ekin, structure autodissoute le 1er octobre 2011.

    Appartenance que ne reconnaît pas le principal intéressé, ce qu’explique son avocate. “Nous avons demandé un complément d’information car ne figure dans le chef d’inculpation aucune date de faits et aucun fait concret. On lui reproche d’appartenir à Ekin, mais rien ne le prouve”. A ce flou apparent, l’avocat général Dominique Jeol réaffirme l’application d’un MAE qu’il juge “détaillé” et “clair”.

    Me Basurco a par ailleurs plaidé le rejet du mandat tout en mettant en doute la validité des deux témoignages à l’origine de la mise en cause de son client. Elle estime que ceux-ci ont été obtenus sous la torture. “J’ai leurs dépôts de plaintes pour torture et leurs déclarations”, ajoute-t-elle ensuite. Elle a donc exhorté les magistrats à réclamer des explications à Madrid. “Ils doivent demander aux autorités espagnoles ce qu’il en est des plaintes”, précise-t-elle.

    Troisième point réfuté par l’avocate, l’application d’un MAE au nom d’une activité purement politique. Or, “lorsqu’il est établi qu’un MAE est lancé pour des raisons purement politiques, c’est un cas de refus. Mais ça n’est jamais arrivé”. La juridiction ne rendra sa décision que le 14 février et, dans la journée, Ernesto Prat a réintégré la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse. Comme de nombreux autres militants de la gauche abertzale menacés par un mandat d’arrêt européen, il encourt douze ans de prison sur le territoire espagnol.





    Soutien des élus navarrais
    Pendant que plaidoiries et accusations avaient lieu à l’intérieur, dehors, quatre élus navarrais qui n’avaient pu entrer à cause de la foule, sont venus manifester leur soutien au militant. Maiorga Ramírez Erro et Bakartxo Ruiz Jaso de Bildu ; Xabier Lasa Gorraiz et Asun Fernández de Garaialde y Lazcano de Nafarroa Bai ont par ailleurs fait parvenir une lettre au tribunal dans laquelle ils s’expriment en ces termes : “Dans la voie de la construction de la paix et de la démocratie en Euskal Herria, il faut en finir le plus vite possible avec les illégalisations. Aujourd’hui encore, des centaines d’indépendantistes se trouvent dans les prisons espagnoles pour leur militance politique publique : Arnaldo Otegi, Rafa Diez, les directeur et sous-directeur du journal Egin. Le scénario de paix demande impérativement la libération des militants emprisonnés pour leur activité politique et que plus personne ne soit arrêté pour avoir fait de la politique”.

    Ils concluront enfin en demandant au tribunal de Pau “d’agir en responsabilité” et de “ne pas donner suite à la politique menée par les autorités espagnoles contre les idées politiques. Dans ce cas, nous vous demandons de prendre les mesures nécessaires pour mettre fin à la situation d’injustice que subit Ernesto Prat en raison de ses idées politiques”.

    A leurs côtés, une vingtaine de personnes était également présente, dont des membres de Libertat, pour manifester leur solidarité.
    Source : Journal du Pays Basque | http://www.lejpb.com

    NON AU MAE(Mandat d'Arrêt Européen) ! Solidaritat dab Ernesto Prat Urzainki! Solidaritat dab los pòbles en luta !

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique